En février dernier, Danielle Chaperon, professeure à l’UNIL et responsable scientifique de la formation, annonce : « Après avoir consacré les deux premiers modules à la « narrativité », nous allons changer d’échelle pour regarder de plus près ce que l’on appelle les « situations dramatiques ». En passant par l’éthologie et la psychologie sociale, nous verrons que ce qui suscite notre émotion, en tant que personne et en tant que spectateur·ice, c’est souvent cela : quelqu’un dans une situation (pas forcément quelqu’un dans une intrigue). Sur cette base, rien n’empêche de faire du théâtre « intéressant » (comme on disait au 17e) sans intrigue, en composant des « poèmes scéniques » ou des « essais scéniques ». C’est ce que nous allons tenter de faire avec le PCR (Le Petit Chaperon rouge), le conte qui nous accompagne depuis le début de la formation. »