Carlos Henriquez livre ses souvenirs d’enfance, bercés tant par le flamenco que par le yodel et revient sur les terrains de jeux qu’ont été les abattoirs de La Chaux-de-Fonds, le banc de touche du F.C. Aurore Bienne, la Playa del Inglés ou l’usine familiale de chorizos Carisa à Cortébert.
Drôle, sincère, il revient aussi sur ces moments où il s’est senti différent de ses camarades de classe. Des petits riens qui permettent de réfléchir à la question de la migration en Suisse des années 70 à nos jours.
Emotion, sensibilité et humour au rendez-vous !