« Sganarelle ou le cocu imaginaire » et « L’école des maris »
Venez rire, dans une ambiance rock’n roll, des penchants les plus vils de l’humanité qui ont su traverser les siècles, toujours en éveil, au mieux de leur forme.
Jalousies, violences, soupçons, lâchetés, traquenards : un éventail complet de travers, décrit par le génial portraitiste Molière.
Ce qui entre en jeu par dessus tout, c’est la condition de la femme et des amours dominées par les hommes. Patriarcal et macho, le mâle dans toute sa splendeur est ici moqué avec verve et en même temps avec tendresse.
400 ans, ça se fête! Bon anniversaire, Jean-Baptiste Poquelin !